En effet après le cafouillage de la non nationalisation de ce week-end il se murmure qu'il y aurait eu avec Mittal un accord secret sur le dos des ouvriers mosellans...
Jean-Marc Ayrault aurait obtenu un investissement de 180 millions d'euros de Mittal et au passage il a envoyé un camouflet à son ministre du redressement productif tout en négociant directement avec Mittal la garantie du maintien de l'activité d'un autre site du groupe : l'usine de Basse-Indre.
La question est posée cette usine basée tout près de Nantes, dans la circonscription de Jean-Marc Ayrault a-t-elle fait l'objet d'un marchandage au détriment du site de Florange ?